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Publiée le 24/01/13 à 19h30

Dîner-débat A.T.E.E. qui se déroule annuellement à l'école des Mines de Nantes.

Nous savons désormais que le peak oil a été atteint en 2006 et que nous devons inventer l’ère de l’après pétrole. Mais que dire du cuivre, du zinc, du nickel, de l’étain... qui seront épuisés dans moins de 40 ans au rythme de la consommation actuelle ?
Les métaux, ressources minérales naturelles non renouvelables, sont également à la base de notre civilisation industrielle. Moins médiatique que le changement climatique ou les enjeux énergétiques, leur raréfaction sera pourtant un des défis majeurs du XXIème
siècle. Notre modèle actuel de développement, basé sur un accroissement continu du prélèvement des ressources, se heurte en effet à la finitude de la planète.
Au regard des enjeux techniques, économiques, sociaux et environnementaux de la raréfaction des métaux, les discours sur l'abondance, la croissance verte et la technologie salvatrice relèvent du mythe.
Quelle est la situation réelle et les perspectives ? Pourquoi les secteurs du nucléaire, des énergies renouvelables (photovoltaïque, éolien) sont-ils également concernés par la raréfaction des métaux ? Une économie circulaire fondée sur le recyclage généralisé, est-elle une réponse ? Quelles autres solutions imaginer ?
Sous la direction de Philippe BIHOUIX et de Benoît de GUILLEBON, un groupe d'ingénieurs de l'association des centraliens s’est penché sur ces questions, notamment à travers cet ouvrage : « Quel futur pour les métaux ? ».